quinta-feira, 30 de julho de 2015

Les Témoins de Jéhovah accusés de cacher plus d'un millier de cas de pédophilie dans le passé

décennies

Les Témoins de Jéhovah ont omis et caché plus d'un millier de cas de pédophilie parmi ses membres en Australie depuis plus de six décennies. L'accusation a été faite par la Commission royale, un organisme public créé en 2013 pour gérer les cas de maltraitance d'enfants.

La Commission royale de l'Australie a décrit les Témoins de Jéhovah comme une secte insulaire avec des règles visant à décourager les plaintes d'abus sexuels.

"La preuve que l'église n'a pas signalé aux autorités civiles l'un des 1 006 affaires sexuelles présumées identifiées par les Témoins de Jéhovah depuis 1950, sera présenté à la Commission royale», a déclaré Angus Stewart, l'assistant principal conseiller de la Commission, le lundi, 27 juillet.

Selon Stewart, l'enquête a révélé l'omission intentionnelle de crimes: "Cela suggère qu'il ya des pratiques dans l'église des Témoins de Jéhovah de retenir des informations sur les crimes d'abus sexuel d'enfant, l'empêchant de présenter des allégations d'abus sexuels contre les enfants à la police ou aux autorités compétentes. "

Selon numérique Religion, les Témoins de Jéhovah au nombre d'environ huit millions de membres dans le monde entier, et sont populairement connus pour leurs campagnes de conversion fait du porte à porte. En Australie, le nom satisfait environ 68.000 fans.

La Commission a invoqué le témoignage de deux membres des Témoins de Jéhovah identifiés les initiales BCB et le BCG, deporão bientôt autorités des accusations contre les membres supérieurs de l'église, qui les conduit à ne pas signaler les abus qu'ils ont vécu.

L'église, cependant, se défend en disant que expulsé 401 membres dans les processus internes dès qu'il a connaissance d'abus, et affirme que la réglementation exige que présente deux ou plusieurs témoins à convoquer le comité qui traite des cas.

La recherche de l'enquête a souligné que de la 401 expulsés, 230 ont été autorisés à revenir à la communion, et que dans 125 cas, l'absence de témoins avorté le processus dès le début.
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